Catégories : Femmes soumises SM camisole
il y a 2 ans
Comment en suis-je arrivée là ? Je suis folle, givrée, bonne pour l’hôpital psy en soin intensifs et sous camisole. Je suis entravée, nue, debout bras et jambes en croix avec ce satané bâillon ouvert qui me fait baver, je ne sais pas ce qu’il va me faire.
Mon dieu que j’ai honte à présent d’être ainsi offerte sans défense dans son jardin. Aveuglée par un bandeau, je ne peux qu’écouter les bruits qui me font peur. Je lui ai indiqué que je ne voulais pas de rapport sexuel, que je ne voulais pas tromper mon mari mais que j’étais prête pour vivre une expérience BDSM sans marque. J’espère vraiment qu’il respectera cet engagement.
Le pire, c’est que quand je lui ai indiqué que j’avais beaucoup de mal à jouir, il m’a répondue que cela ne durerait pas quand je serai chez lui. Ce Maître a longuement insisté sur l’abandon, sur le fait que j’arrête de vouloir tout gérer et que je devais apprendre à m’abandonner. Lors de nos échanges je lui ai répondu que je n’y arriverai pas, qu’il avait aucune chance même si j’aimerai beaucoup. Est-ce que je l’ai vexé en lui répondant ça ? Est-ce que maintenant que je suis entravée et sans défense dans ce gîte particulier en Espagne, je ne vais pas y passer comme ces filles enlevées et vendues pour des bordels clandestins ?
Voilà l’état d’esprit qui était le mien avant qu’il pulvérise l’Alpha et la pousse à perdre toute retenue, à baisser la garde.
...............
CE QU’IL A FAIT A LA FOLLE
Avant de m’aveugler et de me bâillonner, il a entravé mes bras en croix avec des bracelets de bondage doublés d’une moumoute pour que je n’ai pas de marque. Cette attention me rassurait, le fait qu’il m’attache nue dans son jardin sans vis-à-vis m’excitait un peu. Au niveau des jambes, il m’a faite monter sur une planche équipée d’anneaux avec des cales pour que mes pieds ne glissent pas. « Tu verras qu’au bout d’un moment, tu apprécieras les cales, cela t’évitera de glisser et de devoir te contracter ». C’était vrai, garder les jambes ouvertes devient fatiguant quand cela glisse, ces cales me permettent de m’appuyer. Cela ne l’a pas empêché de les entraver.
Au lieu de me tripoter, de s’acharner sur sa proie consentante pour cette expérience nouvelle pour moi, il m’a aveuglée avec un bandeau maison spécial fait de lingette démaquillante et d’un bandage médical. Efficace et confortable, je l’admets. Son bâillon double métallique m’empêchait de parler et de fermer la bouche. Si je ne pouvais pas m’étouffer, je ne pouvais pas avaler ma salive. De temps en temps, je sentais honteusement des gouttes de bave tomber sur ma poitrine.
Il m’a laissée attendre dans cette position sans rien me dire. Je ne savais même pas si il était encore là. Je me sentais comme un épouvantail. Pourquoi entraver une soumise pour la laisser mariner sans rien lui faire ? Cette question je me la suis posée plusieurs fois même si je redoutais un peu ce qu’il pourrait lui faire.
Soudain, j’ai senti la chaleur de son corps dans mon dos. Il s’est plaqué contre moi pour saisir ma poitrine à pleine main avant de jouer avec mes tétons. En même temps, il déposait des baisers doux dans le creux de mon cou et sur mes épaules en me disant de me décontracter. Facile à dire mais pas facile à faire pour une Alpha. Avec douceur, il a posé des pinces à grelot sur mes tétons en me disant que quand je me débattrais entre les jouissances, cela ferait une jolie mélodie. Quelle horreur, quelle honte, il voulait que je sonne comme le chariot du père Noël pendant « des » jouissances, jouissances dont je doutais.
Il a commencé à devenir « mec » en me tripotant la chatte et soudain, il s’est mis à la gifler ! Doucement mais quand même, ma petite fleur n’a pas aimé. Et là, il a fait pire, il a posé des pinces sur mes lèvres intimes pour les écarter avec des ficelles qu’il a réglée en prenant son temps. Ma petite fleur intime devait ressembler à une grenouille sur la table de vivisection. J’étais tellement ouverte que je sentais le courant d’air à l’entrée de mon vagin. Il m’a encore abandonnée et laissée avec mes troubles, mes questionnements multiples.
Un moment plus tard, monsieur a décidé de venir voir sa grenouille ! Oh, ce n’était pas que pour la voir, non, c’était pour l’embrocher ! Après m’avoir généreusement lubrifiée sans aucune considération pour ma pudeur, il a enfoncé un gode en moi. Ce gode était fixé sur quelque chose, je ne pouvais pas savoir ce que c’était. Je me suis imaginée qu’il jouait à me faire le supplice du pal. A chacun ses distractions...., si il pensait que j’allais jouir avec un simple truc dans la chatte, il se fourrait le doigt dans l’oeil.
Quelques instants plus tard, c’est mon anus qui a été l’objet de toutes ses attentions. Il l’a lubrifié puis a joué un moment avec son doigt pour le détendre. Comme pour ma chatte, il y a inséré un gode. Il était petit, cannelé. Monsieur a pris son temps pour faire des réglages, pour que ses godes ne s’échappent pas de moi. C’est très gênant ! ! !
L’épouvantail empalée devant et derrière avec ses clochettes se demandait où il voulait en venir quand soudain, les deux godes se sont agités. Il venait de m’installer deux machines à baiser entre les jambes. Le rythme des godes était lent, monsieur prenait son temps... Il prenait le temps de me laisser avoir honte d’être ainsi ouverte, offerte et godée.
Quand il a continué de s’amuser avec son épouvantail, cela a été pour caler un truc contre mon clitoris. Une boule appuyait sur ma fleur émotive commençant à sortir de son écrin. Soudain la boule s’est mise à vibrer doucement. Il venait d’ajouter un magic wand massager aux accessoires transformant l’épouvantail en pantin de chair. C’est là que j’ai senti que je ne pourrai pas résister à tout ça, qu’au bout d’un moment il arriverait à ses fins : me faire jouir.
Il m’a encore abandonnée ! Il m’a laissée sur ses pals automatiques et aux bons soins de son magic. Sauf que, si c’était bon, ce n’était pas assez fort pour me faire jouir. Alors j’ai commencé à onduler du peu que je pouvais sur ses jouets de pervers. Lorsque j’ai pensé qu’il devait se délecter de ce spectacle, l’Alpha a repris le dessus et a ordonné à mon corps de ne plus bouger. Cela n’a pas plus au Maître des lieux.
- Tu cherches à résister, tu vas être punie !
Si je n’avais pas été bâillonnée, je lui aurai bien dit d’aller se faire voir chez les Grecs, ce qui n’aurait pas été une bonne idée ! Pourquoi ? Parce que j’ai senti les lanières d’un martinet claquer sur les fesses. Il était doux, les coups n’étaient pas forts, si je l’avais envoyé chez les Grecs, je pense qu’ils auraient été plus appuyés. Oui mais prendre des coups de martinet sur les fesses, cela fait bouger et quand on est empalée devant et derrière.... il y a comme une cohésion de groupe pour gommer votre pudeur. Faisant contre mauvaise fortune bon coeur, l’Alpha a fini par accorder à mon corps le droit de bouger un peu pour chercher du plaisir.
Là, le Maître a du vouloir me récompenser puisqu’il a accéléré les machines m’empalant ainsi que le magic wand. L’Alpha a menacé de déposer le bilan face à mon corps devenant tout chaud de partout et mon ventre se contractant comme si il allait recevoir un coup de poing. Toujours en prenant son temps, le sadique a repris ses coups de martinet juste pour chauffer mes fesses. Comme si elles en avaient besoin... Comme j’ai réellement commencé à bouger sur les pals les grelots de mes pinces à sein se sont fait entendre. L’Alpha m’a insultée, m’a dit que je ne savais pas me tenir, que je n’avais aucune pudeur. J’ai immédiatement plaidé que je n’y étais pour rien, que ce n’était pas ma faute, que mon corps m’échappait.
La dernière ligne droit, fut comme le sprint final d’un Marathon quand le Maître a poussé un peu plus ses machines. L’Alpha s’est mise en grève, mon corps faisait ce qu’il voulait et moi je ne voulais plus qu’une chose : jouir !
D’habitude je suis silencieuse quand je jouis, même si je ne jouis que très rarement, je suis discrète. Ma pudeur a du elle aussi se mettre en grève car je n’ai pas joui, non, j’ai implosé ! Cela a fait un peu comme une bombe atomique, l’explosion suivi du souffle car les machines ne s’arrêtaient pas ! ! ! Après il y a eu comme les tsunamis, l’eau entrant dans les terres en balayant tout sur son passage MAIS qui revient à la mer et repasse là où elle a tout rasé e, immergeant les terres. En clair, j’empilais les jouissances en criant comme une perdue, je me débattais dans mes entraves en faisant sonner les grelots. Combien de fois ai-je joui ? Je ne sais pas, beaucoup, j’ai du pulvériser le nombre de jouissances depuis ma naissance.
Quand enfin il a arrêté les machines et le magic wand, le pantin de chair ne tenait debout que pas les entraves.
ET LA ! ! ! Et là j’ai entendu les applaudissements de plusieurs personnes !
J’ai aussitôt maudis le Maître ! L’Alpha est revenue toutes dents et griffes dehors. Quand le sadique m’a retiré le bâillon, je lui ai demandé de me libérer sur le champ en le traitant d’enfoiré. Il ne devait y avoir personne d’autre que lui et moi.
- Non, je veux que tu t’excuses d’abord et qu’ensuite tu me remercies publiquement de t’avoir donné autant de plaisir.
« Va te faire foutre » ! A été ma réponse.
- Comme tu veux mais tu as tord de me manquer de respect. Tu seras punie pour ça !
Et là, le sadique a remis ses machines en route à pleine puissance cette fois, avant de me donner une fessée au martinet plus appuyée. Je l’ai supplié d’arrêter, il m’a répondue que je devais jouir encore en guise de punition. Sans arrêter ses machines, il a retiré le bandeau qui m’aveuglait. Il n’y avait personne, juste un borne de son connectée à une clé USB. L’enfoiré m’avait grugée et moi j’avais douté de sa promesse !
« Tu me dois une jouissance de plus en guise d’indemnités pour préjudice moral » m’a dit le Maître en jouant avec mes pinces à grelot. Face à moi, quasiment nez contre nez il me défiait, l’Alpha m’a conseillée de baisser la garde si je voulais en sortir vivante.
« Regarde-moi dans les yeux, offre moi ton plaisir, c’est le plus beau cadeau que tu peux me faire avant que je te libère » me disait le Maître en retirant doucement les pinces à sein. Quand il a pris mes tétons entre ses doigts pour les faire rouler, j’ai posé mon front contre le sien et je me suis abandonnée. Cet abandon si particulier a changé ma vie.
Une heure plus tard, après la douche, lorsque nous avons pris un verre je lui ai demandé pourquoi il avait mis des applaudissements. Sa réponse m’a touchée et perturbée !
- Il y a plusieurs femmes en toi. La femme de tête, la mère de famille, l’Alpha mais aussi une femme qui a droit au plaisir tout simplement. Ceux sont elles qui t’ont applaudie parce que tu as osé te laisser aller. Je t’en félicite. Tu n’as pas à avoir honte de jouir, c’est naturel, gomme les interdits qui t’en empêchent et te privent de beaucoup de choses.
En partant j’ai acheté un magic wand massager. Mon mari a été surpris de cet achat. Je lui ai expliqué que nous avions eu une discussion entre filles et qu’elles m’avaient conseillée d’en acheter un. Depuis, ce jour, ma sexualité a un peu évolué, je me libère.
Fin
TSM
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Oui très belle histoire,merci. | |
Une belle histoire, qui donne une très belle vision, merci | |
Une histoire très jolie qui mets en avant les différentes femmes en chacune d'entre nous. |
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